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Abyss Ingredients au coeur du sport : #3 Enzo Chevance


Abyss Ingredients au coeur du sport - Ticket d'entrée pour l'interview d'Enzo Chevance

Comme nous le savons tous, et particulièrement en France, cet été est placé sous le signe du sport avec l’arrivée des Jeux Olympiques de Paris 2024. Le plus grand évènement sportif au monde, qui regroupera sur les quais de Seine ce 26 juillet, des milliers d’athlètes, d’entraineurs et de supporters. Alors on s’est dit pourquoi ne pas communiquer cette ferveur sportive aux travailleurs et vacanciers connectés tout au long de l’été ?  

 

Nous voici, nous voilà et nous lançons officiellement cette série d’articles blog : "Abyss Ingredients au coeur du sport" dédiés à la pratique sportive de nos champions, mais aussi de nos collaborateurs… Restez connectés !


Portrait du jour : Enzo Chevance

Enzo Chevance est notre commercial France et Royaume-Uni chez Abyss. Au-delà de sa curiosité, de son dynamisme et de sa positivité au travail depuis maintenant 2 ans, découvrons une autre facette de lui : le sport et particulièrement le golf.

 

Enzo a commencé la pratique du golf lorsqu’il avait 12 ans et est aujourd’hui plus passionné que jamais. Après avoir essayé le tennis, le foot ou encore le basket c’est finalement le golf qui a su l’animer jusqu’à ce jour.


Portait d'Enzo Chevance

Il mène donc aujourd’hui de front sa carrière de commercial, ses études et sa passion pour le golf et le sport de manière générale.  

 

Nous sommes fières de vous présenter une infime partie de sa pratique sportive à travers cette interview.


Quelles sont les valeurs que te transmet le sport ?

 

« En premier point, je dirais le travail, de s’entraîner beaucoup pour bien jouer et se voir progresser. Il y a aussi tout l’aspect entraînement qui va avec la rigueur.


Le respect aussi, c’est très important de respecter son adversaire et surtout dans les sports individuels de manière générale. C’est essentiel d’avoir le respect de l’autre même dans la rivalité.


Et si je devais citer un dernier point, je dirais que c’est de croire en la jeunesse, même si j’en fais partie, il y en a de plus en plus jeune qui ont des niveaux vraiment impressionnants. Donc vraiment tout le travail de les accompagner c’est très important puisque c’est eux qui assurent la relève. »


Quelle place occupe le sport dans ton quotidien et qu’est-ce que cela t’apporte ?  

 

« Alors, en semaine, 1 séance par jour, et ça dépend, je fais de la musculation 3 fois par semaines, et après ça varie entre 1 fois piscine ou 1 fois où je vais courir.

Après, le week-end c’est différent parce que c’est consacré au golf. Le samedi c’est 2h d’entraînement et 5h de parcours et le dimanche c’est 1h d’entraînement et 5h de parcours.

 

Donc oui, j’avoue que c’est assez prenant mais c’est un mode de vie et surtout que c’est une activité que je pratique avec mes amis donc ça fait vraiment partie intégrante de ma vie personnelle aussi. »


Enzo en entrainement de golf

Selon toi, comment concilier, vie professionnelle, vie personnelle et activité physique ?

 

« En ce qui concerne la vie professionnelle, j’ai la chance d’avoir un planning assez flexible, et aussi et surtout d’avoir une salle de sport directement au bureau, ce qui me permet vraiment de faire une coupure le midi pour aller m’entraîner. Alors oui, ça prend du temps certes, mais c’est aussi essentiel pour la santé mentale, de faire une coupure avec le travail, les problèmes...

 

Après c’est vrai que le sport et surtout le golf, c’est ma priorité, je le fais passer avant tout, je pense que c’est une question d’habitude aussi, ça fait partie de ma manière de vivre.


Surtout que, comme je l’ai dit, le sport est complètement mêlé à ma vie personnelle, donc ça se raccorde très bien à vrai dire et j’y ai trouvé mon équilibre. »


 Comment gérer le phénomène de procrastination dans le sport ?

 

« Je pense que c’est un sentiment qu’on a déjà tous eu.

 

Par exemple par saison : l’été, je n’ai personnellement pas envie d’être enfermé à la salle de sport, et à l’inverse, l’hiver, je n’ai pas toujours la motivation d’aller au golf, avec la pluie, le froid...


Mais c’est aussi le meilleur moment quand tu y vas, tu t’entraînes et après tu rentres chez toi en te disant “c’est bon c’est fait”. Après la procrastination ça ne dure pas vraiment, je ne me force pas y aller, c’est une forme de logique pour moi et surtout que je sais le bien que ça me fait après y être allé. »


Golf de Pléneuf-Val-André

 

Quel est l’athlète qui t’inspires toute discipline confondue ?

 

« J’en ai un qui me vient oui, c’est Kevin Mayer, un décathlonien que je trouve très inspirant : par sa technique, de se donner à fond dans 10 sports et aussi par sa mentalité acharnée.

 

 Il faut savoir, qu’il a vraiment eu de sacrées blessures au cours de sa carrière et n’a pourtant jamais abandonné et pour ça il faut quand même un véritable courage je pense.

Ce que j’aime beaucoup aussi dans le sport, c’est la technique et lui en a une exceptionnelle, surtout pour pratiquer 10 sports.

 

 Il est aussi peu entouré, mais justement, d’un vrai groupe qui le soutien et qui l’accompagne et ça me plait beaucoup aussi cette mentalité là. »


Prends-tu des compléments alimentaires dans le cadre de ta pratique sportive ?


« J’en ai effectivement pris, dans la cadre de la musculation surtout. Principalement de la créatine : pour les performances et la récupération. Et j’ai commencé la Whey naturelle aussi. »


Y’a-t-il des endroits dans le monde où tu rêves de jouer au golf ?

 

« Carrément ! Il y a des endroits un peu “iconiques” dans le golf, puisque chaque parcours est diffèrent. Par exemple, St Andrews en Écosse, qui est vraiment mythique, puisque c’est ici pour la petite histoire, que le golf a été crée. Donc y’a vraiment tout le côté historique qui rend vraiment cet endroit far.

 

Et après, je dirais, Augusta aux Etats-Unis, puisqu’il est vraiment prestigieux ; et je crois même que seulement deux français sont inscrits là-bas, ce qui est vraiment peu. Il y a que quand les professionnels jouent que ça passe à la télé, sinon c’est silence radio toute l’année, donc ça rend encore plus mythique et prestigieux le lieu. »

 

As-tu une routine ou des rituels avant de jouer une partie ?

 

« Je n’ai pas vraiment de rituel, mais plus une routine en fait. Je commence avec : un échauffement physique, après je tape quelques balles, je m'entraîne sur certaines parties de jeu... Après on s’entraîne, on se fait des petites compètes avec mes amis, et après ça joue. C’est généralement comme ça que ça se fait. »


Golf de Pléneuf-Val-André

 

Pratiques-tu le golf en compétition ? Si oui, comment gères-tu la pression lors des compétitions ou des parties importantes ?

 

« Oui, j’en fais en compétition, donc on a plusieurs rendez-vous avec les équipes en commençant par les départementales et en finissant par les championnats de France.

 

En ce qui concerne la pression, je pense qu’on essaye tous de gérer ça au mieux. Au départ, c’est vraiment la respiration qui est vraiment importante : pour redescendre le rythme cardiaque.

 

Après, rester un peu dans sa bulle, avec sa musique, ça peut aider, mais il faut aussi discuter avec les autres. Je pense que c’est vraiment important de réussir à trouver un peu ce juste milieu, parce qu’il ne faut pas oublier qu’on a tous ce stress et cette envie de bien jouer. »

 

Qu'est-ce qui, selon toi, pourrait être amélioré dans la pratique du golf ?

 

« Je pense qu’on peut vraiment parler de l’environnement : le golf c’est un sport qui est assez vite pollué avec les engrais chimiques mauvais pour l’environnement et le rapport à l’eau aussi ; un peu toutes ces choses autour de l’environnement qui peuvent encore être améliorées, même si c’est déjà bien lancé en France.

 

 En ce qui concerne l’équipement aussi il y a de belles avancées. Il y a pleins de marques qui innovent vachement dans le matériel, et c’est toujours beau à suivre quand on est passionné.

 

C’est un sport qui reste assez compliqué à convertir en métier à plein temps, de réussir à en vivre, je pense notamment au fait qu’il faut être sacrément doué et donc très investi, il n'y a vraiment pas le droit à l’erreur.

 

Et enfin, je dirais le cliché autour du golf et l’accessibilité : le fait que ça soit “réservé aux riches et peu accessible”. Le golf est de plus en plus accessible et j’espère qu’il va le devenir encore plus dans les années à venir, et aussi qu’on le rapporte un peu plus en France, puisqu’on y retrouve vraiment de belles valeurs et je pense vraiment que ça m’a forgé aussi dans qui je suis aujourd’hui.»


Merci à Enzo pour ce témoignage !


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